Les rhumatologues ont depuis plusieurs mois mis en place une surveillance et un accompagnement des patients concernés. Depuis près d’un an, les patients ayant un profil non compatible ne se voient plus proposer, quand cela est possible, cette gamme de molécule qui en France intervient en général en 3e ou 4e ligne de traitement, donc quand la maladie est plus avancée et difficile à contrôler.
Il est donc important de ne pas arrêter le traitement sans concertation avec votre médecin, ce d’autant qu’avec une prise quotidienne (alors que les autres traitements ciblés se prennent à la semaine, quinzaine ou plus), un arrêt brutal pourrait réactiver la maladie rapidement et rendre plus difficile la reprise de contrôle. N’hésitez pas à en parler avec votre rhumatologue.